Une façon comme une autre de faire du canyoning lorsque l'on a peur de l'eau ! Rire.
Blague à part, une superbe balade qui s'enchaîne évidemment très simplement avec la découverte de la falaise de Lioux et est particulièrement agréable par grosse chaleur estivale (il peut même être utile de prévoir une petite laine au vu de la fraîcheur relative).
De la Combe (dont on comprend maintenant l'origine du nom), on admire une dernière fois la falaise qui, sous ce soleil de midi, prend des couleurs bleutées.
Départ un peu difficile à trouver : le sentier du GR911 disparaît volontiers dans les herbes et contourne discrètement (par l'Est et le Nord) les jardins des quelques villas présentes. Mais une fois dans la combe elle-même, (attention, zone protégée), on a très vite la sensation de pénétrer dans un autre monde.
Les parois s'élèvent rapidement, et l'on y découvre de nombreux abris naturels que certains ont apparemment squatté malgré la réglementation de zone protégée. Il faut avouer que c'est tentant...
Et les abris naturels sont multiples, toujours aussi attirants... On jouerait volontiers le néandertalien pour quelques heures !
La combe se prolonge au Nord, mais je préfère bifurquer à l'Ouest, toujours sur le GR, avec un détour par les ruines de Castellas, d'où le point de vue sur la Combe (et les falaises au loin) est superbe.
Le GR fait une boucle vers le Sud, mais je coupe au plus court, ce qui me permet de profiter de la floraison des fruitiers. Du haut de leur majesté, les chênes traînent par contre un peu à réaliser que le printemps est là...
La sortie est presque brutale, en tout cas inattendue, sur une piste qu'il suffit alors de suivre vers l'Est pour rejoindre la Combe, avec un petit détour pour admirer quelques beaux bâtiments.
Départ un peu difficile à trouver : le sentier du GR911 disparaît volontiers dans les herbes et contourne discrètement (par l'Est et le Nord) les jardins des quelques villas présentes. Mais une fois dans la combe elle-même, (attention, zone protégée), on a très vite la sensation de pénétrer dans un autre monde.
Les parois s'élèvent rapidement, et l'on y découvre de nombreux abris naturels que certains ont apparemment squatté malgré la réglementation de zone protégée. Il faut avouer que c'est tentant...
Le sentier s'élève doucement, en se faufilant entre les arbres et les roches.
Et les abris naturels sont multiples, toujours aussi attirants... On jouerait volontiers le néandertalien pour quelques heures !
La combe se prolonge au Nord, mais je préfère bifurquer à l'Ouest, toujours sur le GR, avec un détour par les ruines de Castellas, d'où le point de vue sur la Combe (et les falaises au loin) est superbe.
Le GR fait une boucle vers le Sud, mais je coupe au plus court, ce qui me permet de profiter de la floraison des fruitiers. Du haut de leur majesté, les chênes traînent par contre un peu à réaliser que le printemps est là...
Passage devant les impressionnants bâtiments de Bezaure.
Puis retour sur le GR, le temps de rejoindre le fond de la Combe de Vaumale, à nouveau en zone protégée.
C'est parti pour une descente très ludique. Bien que peu indiqué et discret, le sentier qui emprunte le lit du ruisseau, et est évidemment à déconseiller hors conditions météo favorables, est parfaitement équipé.
Et très ludique. Au programme, 3 petits km de descente, en se faufilant entre les blocs, dont chaque passage un tantinet technique est équipé de barreaux. Et lorsqu'on croit que c'est fini et que le vallon s'élargit, ce n'est que pour mieux se rétrécir à nouveau quelques dizaines de mètres plus loin.
La sortie est presque brutale, en tout cas inattendue, sur une piste qu'il suffit alors de suivre vers l'Est pour rejoindre la Combe, avec un petit détour pour admirer quelques beaux bâtiments.
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| Photo du Net Passage possible à gauche pour ne pas rester sur la route |
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